• Les photophores

    Matériel nécessaire :

     

    - 3 pots de yaourt en verre,

    - du sotiba marron,

    - 12 bâtons de cannelle d'environ 10 cm

    - de la mousse d'islande rouge

    - 3 bougies chauffe-plat

    - 3 élastiques

    - du raphia rouge

    - 10 tranches de pommes déshydratées

    - 3 m de fil effet bouillon rouge

    - une pince coupante et une paire de ciseaux

    Réalisation du photophore canelle :

    entourez un pot de yaourt avec un tour de sotiba face collante vers l'extérieur,
    placez verticalement les morceaux de cannelle le long du pot pour faciliter cette opération
    maintenez le tout avec un élastique,
    une fois le pot complètement recouvert,
    retirer un bpaton de cannelle sur 3 et mettez à la place des morceaux façonnés de mousse d'islande,
    appliquez bien contre le sotiba afin d'assurer une cohésion parfaite,
    enroulez en serrant les 3 m de fil effet bouillon,
    coupez l'élastique et bien ligaturer
    posez la bougie chauffe-plat à l'intérieur

    Réalisation des 2 photophores pommes :

    mettez un élastique autour de chaque pot,
    glissez délicatement les rondelles de pommes déshydratées,
    entourez l'ensemble ainsi réalisé par du raphia,
    serrez fort - attachez par 2 noeuds plats puis une double boucle
    posez les bougies à l'intérieur

    Précaution d'utilisation :
    mettre toujours un fond d'eau pour limiter l'échauffement des pots en verre

    Article réalisé par Alain HERY


     

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    article et photo réalisés par Noëlle Perrin                                                                     

     

    3 fleurons d’orchidées Phalaenopsis

    2 feuilles de coco

    2 à 3 tiges d’asparagus

    3 bougies rouge « Flamme »

    10 épingles à tête rouge

    1 coupelle plastique rectangulaire

    5 m. de laine rouge, 3m. de laine multicolore (bayadère) – du fil effet bouillon rouge -

    ½ brique de mousse coupée dans la largeur

    1 tige de fil de fer

    1 couteau

    1 pince coupante

    1 paire de ciseaux

    1 sécateur

    Du sotiba.

      

    v     Préparation : placer le demi bloc de mousse dans le support, le bloquer avec un tour de sotiba sur le centre. Pincer le sotiba sur le dessus du bloc. Lustrer les feuilles de coco, dessus et dessous.  Couper la tige de fil de fer en 4 et former des cavaliers.

    v Réalisation :    Diviser jusqu’au ¾ les feuilles de coco, en coupant le long de la nervure centrale. Recouper ensuite la tige sur 2 cm. Planter, à l’envers,  de chaque côté étroit du bloc de mousse les feuilles. Les retourner sur le dessus-du bloc, en les rabattant de façon à couvrir la mousse. Bloquer avec des cavaliers que l’on plante en biais.

    v     Prendre la laine rouge. Faire un tour du support sur une des extrémités. Faire un double nœud. Réaliser 7 tours et arrêter par un nœud avec le 1er brin de laine. – Faire de même à l’opposé, mais avec seulement 5 tours. Placer une troisième bande de laine d’un côté ou de l’autre de façon asymétrique. Faire ensuite 2 bandes que l’on place sur le milieu avec la laine bayadère.

    v     Remplir d’eau les tubes à orchidées, placer les fleurs à l’intérieur. Placer ensuite ces fleurons sur le bloc de mousse, soit 2 sur les côtés, un légèrement sur le dessus, entre les bandes de laine, de façon asymétrique et en respectant le sens des fleurs.

    v     Couper 7 petits groupes de fleurs d’hortensias, les placer sur le dessus du bloc et sur les côtés. Planter dans le cœur d’une fleur une épingle à tête. Planter les 3 bougies.

    v     Piquer une branche d’asparagus sur un des petits côtés, la retourner sur le dessus, en la passant entre les bougies et sans cacher les fleurons. Bloquer à l’extrémité avec un cavalier. Recouper les ramifications d’asparagus sur les autres tiges, en placer quelques-unes sous les orchidées afin de les relever un peu. Répartir d’autres ramifications sur le dessus. Placer le fil effet bouillon sur le dessus, en lui donnant des formes de vagues.

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     Pour cette composition il vous faut :                                                                               



    3tiges d’orchidées dendrobium blanches

    3 tiges de fougère capillaire

    Du sisal rouge

    2 petites bougies argentées

    3 petits vases boules

    2.50 M. de fil alu rouge

    de la poudre de paillettes rouge

    De la pate à fix

    1 vase rectangulaire

    1 couteau

    1 pince coupante

     

    ****************************

     

    v     Etirer le sisal, le placer à l’intérieur du vase. Couper le fil alu rouge, en trois longueurs d’environ 25 à 30 cm. et deux longueurs d’environ 50 cm. Retourner 1 cm de fil, à chaque extrémité.

    v     Avec le fil alu, entourer de 3 tours, le col des petits vases, à l’opposé de la tige de fil, réaliser quelques tourbillons. Placer ensuite ces petits vases sur le rebord du vase, en les faisant pendre à l’extérieur.

    v     Sur les deux autres longueurs de fil, réaliser une spirale que l’on place sous la bougie. Remonter ensuite le fil sur le pourtour de cette bougie. Faire également des tourbillons à l’extrémité du fil, placer  ensuite ces bougies à l’extérieur du vase, une de chaque côté.

    v     Couper les orchidées au-dessus des fleurs les plus ouvertes (environ 2 à 3). Recouper la tige de l’orchidée de la hauteur des petits vases, et mettre à l’intérieur du vase. Le reste de la tige d’orchidée se remet dans le tube. Positionner ensuite des tubes dans le sisal.

    v     Dans chaque petit vase, placer une tige de fougère.

    v     Coller quelques paillettes argentées avec la pate à fix sur le vase.

    v     Avec la longueur de fil restante, réaliser un motif décor, soit une fleur, soit un cœur, lui coller des paillettes dessus, le placer ensuite sur le rebord du vase.

    v     Terminer la composition, en répartissant sur le sisal de la poudre de paillettes rouge.

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    Au centre de la grande table,

    patiente, ô ma belle Amaryllis,

    toi, majestueuse,

    le temps viendra où tu resplendiras !

     

    Après la longue nuit des festivités,

    la cire des lampions est fondue,

    les serviettes gisent sur la nappe souillée.

     

    Une odeur âcre flotte avec les regrets.

    L’étoile vient de pâlir,

    voici l’aube d’un nouveau jour !

     

    Toi, dans ta robe pourpre,

    altière en ta tige,

    corolle nuancée de blanc

    tu dévoiles ton élégance.

     

    Attirer mon regard, tu le sais,

    Avec moi, je t’emmène,

    Allons de ce pas terminer l’année !

     

    Janou

     

    L’Amaryllis :

     

    Son vrai nom est « HIPPEASTRUM » a une tunique (peau d’oignon)

    brun rougeâtre qui sèche est plutôt cassante et adhère bien au bulbe.

    La confusion fréquente avec Amaryllis Belladonna qui a une tunique gris clair.

     

    Origine : Amérique du sud : Brésil, Pérou et Argentine

    Période de floraison : de décembre à avril

    Couleur des fleurs : rouge, rose, blanc, jaune

    Exposition : lumière vive

    Utilisation : de préférence en pot

    Hauteur : 90 cm

    Type de végétation : bulbe

    Toxicité : ! Toutes les parties de la plante sont toxiques en cas d’ingestion

    Maladies et insectes : la pourriture

    Conseils de culture : le bulbe sera enterré à moitié, dans un

    mélange assez riche composé de terreau et de tourbe, en prenant soin

    de ne pas endommager les racines. Placez le pot dans une pièce claire et

    ensoleillée, à une température de 21 à 23 degrés. Les arrosages seront

    modérés jusqu’à apparition de l’inflorescence.

    La floraison intervient généralement 4 à 6 semaines après la plantation.

    Il faudra augmenter progressivement les arrosages.

     

    Langage des fleurs :

    Amaryllis rose : « Vous êtes trop coquette » symbolique : Artifice

    Amaryllise rouge : « Vous êtes trop courtisée » symbolique : Artifice

     

    Une fois fanée, la fleur sera supprimée, mais les feuilles seront

    conservées, de manière à permettre au bulbe de reconstituer ses réserves.

    Un repos de trois mois est nécessaire, durant cette période vous

    n’arrosez plus votre plante.

     

     

    Amaryllis Belladonna

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        Pour cette composition, vous avez besoin de :                                                                             



    1 cadre en polystyrène

    Du vernis colle acrylique

    Une grande feuille de papier de soie marron

    Des feuilles d’automne de 5 à 7 cm

    Des petites épingles de couturière

    1 tube à orchidées avec pique

    1 fleuron d’orchidée Vanda

    1 tige de fougère corail

    1 mètre environ de ficelle marron ou couleur brique

    1 feuille de chêne teinté rouge

    1 couteau

    1 paire de ciseaux

     v     Dégager le centre du cadre, en enlevant le fond.

    v     Avec le vernis colle, encoller le tour du cadre. Partager la grande feuille de papier de soie en deux. Froisser entre les mains une demi-feuille en formant une boule.  Positionner le cadre au milieu de la feuille. retourner les bords sur l’envers du cadre. Couper en triangle, l’intérieur du cadre. Rabattre sur l’intérieur  les morceaux de papier et les coller. Sur l’arrière du cadre coller du papier en luis donnant des effets un peu fripés.

    v     Piquer sur le devant du cadre des feuilles d’automne, soit sur deux côtés, soit sur le tour du cadre, en formant une guirlande.

    v     Encoller le fond du cadre, devant et derrière, l’entourer du papier de soie.

    v     Coller sur la partie haute du tube à orchidées un morceau de scotch double face, plaquer dessus un des bouts de la ficelle. Plaquer ensuite la feuille de chêne sur le scotch. Attacher avec la ficelle, descendre le long du tube jusqu’aux ¾ du pique. Remonter, attacher et couper.

    v     Remplir le tube d’eau, placer l’orchidée ainsi que la fougère. Positionner ce tube dans un angle du cadre en plantant la pointe du pique dans le polystyrène.

    v     Remettre en place le fond du cadre, en laissant un peu de jour.

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    pour la réalisation de cette composition, il vous faut :

    2 branches de bouleau blanc pailleté
    3 fleurs de strelitzia
    1 feuille de strelitzia
    7 pommes malus
    2 bandes de raphia synthétique orange et vert
    (5mètres environ)
    3 épingles à tête jaunes
    Des feuilles d’automne fraîches
    Support rectangulaire en verre
    De la mousse florale
    1 pince coupante
    1 couteau
    1 sécateur
    De la pâte à fix
    2 mètres de fil effet bouillon

     

    v     Chauffer la pâte à fix  dans vos mains jusqu’à ce qu’elle vous colle aux doigts.

    v     Faire des petites pastilles, les coller à l’envers des feuilles d’automne, placer ensuite ces feuilles sur les côtés, du bas vers le haut, laisser les queues aux feuilles.

    v     Avec le raphia plaqué les feuilles contre le vase, en commençant par le bas du vase, faire plusieurs tours en les décalant, terminer par deux nœuds plats.

    v     couper un quart du bloc de mousse, de la largeur du vase. Positionner cette mousse sur un des côtés du vase, le bloquer avec des morceaux   de mousse plus petits.

    v     Couper en biseau avec le couteau les tiges des fleurs de strelitzia, à des hauteurs différentes, en respectant la forme des tiges.

    v     Placer la feuille à l’opposé du mouvement le plus fort.

    v     Couper des petites branches de bouleau, à des hauteurs différentes, les placer ensuite entre les fleurs de strelitzia. Accompagner chaque fleur avec une branche.

    v     Réaliser une guirlande avec le fil effet bouillon et les pommes malus, laisser 10 cm au début et à la fin de cette guirlande.

    v     Entourer le vase de cette guirlande, en fixant le début à une tige de fleur.

    v     Prendre 3 feuilles d’automne de couleur et de forme différentes, fixer chacune de ces feuilles sur le somment d’une tige de strelitzia avec l’épingle à tête. Placer ces tiges entre les fleurs.

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  • Une fleur qui inspira le poète Paul VERLAINE pour une métaphore entre la femme et la fleur de dahlia, et proposée par Dominique !

    Courtisane au sein dur, à l’œil opaque et brun

    S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un bœuf,

    Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

     

    Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun

    Arôme, et la beauté sereine de ton corps

    Déroule, mate, ses impeccables accords.

     

    Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins

    Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,

    Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

     

    - Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,

    Elève sans orgueil sa tête sans odeur,

    Irritant au milieu des jasmins agaçants !

     

    Paul VERLAINE.

     

     

     

    ********************
     

    Un peu d’histoire :

    Originaire des hauts plateaux du Mexique, le dahlia a été découvert par des botanistes espagnols dans la ‘Nueva espana ».

    Le dahlia, fleur à bulbe héliophile appartient à la famille des Astéracées.

    Il doit son nom à Andreas Dahl, botaniste du XVIIIème siècle.

     

    Période de floraison de juin aux gelées, pour la conservation des tubercules, placer les au fond d’un cageot sur du papier journal dans un endroit sec à l’abri du gel, saupoudrés de fongicide et recouvert de tourbe sèche.

     

    Couleur des fleurs : de nombreux coloris, sauf le bleu.

    Au début du XIXème siècle on recense déjà 454 variétés !

    Exposition
     : plein soleil et plantation en avril.

     

    Multiplication : semis, division des tubercules au printemps,


    A noter, dans les régions où l’hiver est rigoureux
    les  tubercules doivent être arrachés de terre. Grande diversité dans les résultats de croisement : 13 familles de dahlias classés en fonction de la forme de la fleur et de leurs ligules.

    Espèces et variétés intéressantes : dahlias cactus « oiseau de feu »

    Dahlia décoratif « aramis » dahlia dentelles « Emmaus »

    Dahlia pompom et dahlia nains !

    Maladies : le charbon du Dahlia. Le forficule (pince oreille) dévore les boutons floraux.


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