•   
        
    Merci à Noëlle Perrin pour le texte et à Sandrine Loulélis pour l'image !
     

    Fleurs, végétaux et matériel utilisés :
      
    2 tiges d’alstroemeria - 2 tiges de boni jaune paille (fleurs doubles) - 3 œillets jaune paille - 3 tiges de roses branchues jaunes - 5 tiges de fougère - 4 tiges d’asparagus - 8 coquillages               
    4 tiges de fil de fer - floratape blanc
    1 pince coupante - 1 sécateur  - 1 couteau - 1 support verre - 1 pinolder + Patafix

    Préparation et réalisation :

    •    Florataper les quatre tiges de fil de fer, les diviser en deux.
    •    Mettre le pinolder au centre du support en le fixant avec la patafix. Placer dessus la brique de mousse.
    •    Sur les branches de fougères, couper au-dessus de la deuxième ramification. Placer les pointes sur les côtés du bloc de mousse, en les faisant se reposer sur le support. Recouper les ramifications entre deux et trois centimètres, en positionner deux sur le dessus du bloc de mousse, les autres se placent sur les côtés. Sur la 5ième ramification recouper deux fois deux ramifications, mettre la petite pointe au centre sur le dessus du bloc.
    •    Prendre les branches d’asparagus, compter deux  ramifications, couper, ainsi de suite sur toute la branche. Si les ramifications sont longues, n’en garder qu’une seule. Placer ensuite les plus grandes ramifications entre les fougères, les autres étant placées sur les côtés et sur le dessus, sans cacher la fougère.
    •    Détacher chaque rose de la tige en gardant le plus possible de tige. Réaliser une première couronne sur le dessus du bloc de mousse en plaçant les roses les plus courtes.
    •    Faire la deuxième couronne avec les roses les plus longues, entre la fougère et l’asparagus. Positionner ensuite les 3 œillets entre les deux couronnes de roses.
    •    Couper toutes les ramifications de l’alstroemeria, supprimer les petites feuilles, les répartir entre les œillets, la fleur regardant le soleil de midi.
    •    Placer ensuite les ramifications de boni, les plus éclatées (donc les plus courtes) sur le dessus. Ensuite les moyennes, les longues par masses de 3 à 5 fleurs sur le tour.
    •    Avec les tiges de fil de fer floratapées, maintenir les coquillages. Les placer ensuite sur la composition
    Partager via Gmail

    votre commentaire

  • La fête du printemps

    Le muguet symbolise le retour du bonheur, la coquetterie discrète et la grâce.
    Son nom latin, Convallaria vient du nom que les apothicaires donnaient à cette plante : Lilium Convalilium ou "lis des vallées". Le nom français "muguet" (anciennement  : muguette ) fut donné par altération de "muscade", allusion faite au parfum poivré des clochettes.
    Le muguet  a toujours symbolisé le printemps et les Celtes qui lui accordaient des vertus porte-bonheur. Une tradition naquit en France avec le roi Charles IX qui décida d'en offrir chaque année aux dames de la cour. Quelques siècles plus tard, ce seront les couturiers qui les offriront à leurs petits mains et leurs meilleures clientes.
    La fleur est aussi celle des rencontres amoureuses. Longtemps, furent organisés en Europe des "bals du muguet". Ce jour-là, les jeunes filles s'habillaient de blanc et les garçons ornaient leur boutonnière d'un brin de muguet.

    La fête du travail
    En 20 juin 1889 : le congrès de la IIème Internationale socialiste réuni à Paris pour le centenaire de la Révolution française, décide de faire du 1er mai un jour de lutte à travers le monde avec pour objectif la journée de huit heures. Cette date fut choisie en mémoire du mouvement du 1er mai 1886 de Chicago (grève suivie par 400 000 salariés.
    En pleine occupation allemande, le 1er mai est officiellement désigné comme la fête du Travail par le gouvernement de Vichy qui espérait ralier les ouvriers. Mais c'est seulement en 1947 que le gouvernement issu de la Libération fera du 1er mai un jour férié et payé .Aujourd'hui, la Fête du Travail est commémorée par un jour chômé dans la plupart des pays d'Europe

    Le jour du 1er mai, les particuliers sont exceptionnellement autorisés à vendre leurs petits brins  de muguet porte-bonheur dnas la rue sous certaines conditions.

    Pour conserver le plus longtemps votre muguet
    Achetez le la moitié des clochettes ouvertes et le bouton terminal coloré. Evitez les séjours au sec, car le muguet se déshydrate rapidement. Recoupez la tige en biseau tous les 2 jours.

    Retrouvez des anecdotes sur le muguet sur le site
    La France pittoresque
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Un très grand merci à Noëlle Perrin
    pour le compte rendu et la photo de cette
     composition réalisée le 24 avril à la MPT de St Jean de Moirans

         
    3 gerberas Thomson - 2 tiges d’ornithogalum arabicum - 3 tiges d’achilléa - 2 tiges d’œillets Yvonne - 4 tiges de cornus vert - 8 feuilles de cocos - 5 tiges de rotin jaune

    3 tiges de fil de fer - 1 mètre de fil verni vert- Du raphia vert ou jaune

    1 pince coupante - 1 sécateur  - 1 couteau - 1 agrafeuse - fil de coton vert

    •    Préparation de la composition : Lustrer les feuilles de cocos -  tiger les gerberas, recouper un centimètre environ – enlever toutes les feuilles des tiges d’œillets.
    •    Préparation du support : Prendre deux tiges de cornus, laisser toutes les ramifications. Les attacher ensemble, au quart de la hauteur, bien serré, avec du fil de coton vert. Faire 6 à 7 tours.
    •    Couper en deux les autres tiges. Ecarter légèrement les deux grandes tiges de cornus. Fixer en parallèle 3 des morceaux de cornus en les attachant avec le fil verni vert. Former un grand V -  Le 4ième se plaçant au milieu perpendiculairement, et le fixer aux branches du milieu.
    •    prendre toutes les tiges de rotin ensemble, partir d’une extrémité supérieure de la structure. Descendre autour  d’une tige extérieure, en enroulant le rotin autour de la structure jusqu’au bas. Remonter par le milieu pour rejoindre l’autre extrémité. Attacher en plusieurs points avec le raphia. Faire un nœud avec le raphia restant et le positionner sur la tige du milieu.
    •    Préparation du bouquet : Dans les feuilles de cocos, prendre les 4 plus petites, les plier en 2. Former un rouleau en partant d’une pointe. Agrafer. Former le deuxième rouleau avec l’autre pointe. Agrafer.
    •    Réalisation du bouquet : mettre en premier l’ornithogalum, en plaçant la fleur au niveau de la plus haute barre de cornus. Tourner d’une moitié le support, glisser le deuxième ornithogalum légèrement plus bas. Tourner d’une moitié, placer le troisième en dessous.
    •    Tourner d’une moitié, placer un gerbera entre le moyen et le petit ornithogalum, - ½ tour, placer le deuxième gerbera sous le petit ornitho. – ½ tour et glisser le dernier gerbera sous la première barre de cornus.
    •    Faire un demi tour, placer l’achilléa entre le grand et le moyen  gerbera. ½ tour mettre le deuxième entre le moyen et le petit.  Pour les œillets, en glisser un à la même hauteur que l’achilléa, mais à l’opposé. Le 2ième se trouvant sous le plus petit des gerberas. Tourner et placer le dernier achilléa à la hauteur du dernier œillet.
    •    Placer les 4 rouleaux sous le dernier œillet, en tournant de quant en quart. Placer les grandes feuilles de cocos entre les rouleaux, en tournant de quart en quart.
    •    Attacher le bouquet avec le fil de coton vert. Retailler toutes les tiges.
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Quelques photos du salon Arrêt Créations de Voiron qui a eu lieu le dimanche 22 avril.

    Janou et un voisin éditeur de passage au salon
    Brigitte et Michèle en pleine préparation
    Brigitte et Michèle en pleine action (typha et grillage)
    Sandrine tresse du typha
    Didier immerge des fleurs de pivoine

    Les photos des compositions finies et réalisées sur place par Sandrine Loulélis, Michèle Daniel et Brigitte Tessaur se trouvent  sur le blog de janou :
    Janou
    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • Un très grand merci à Noëlle Perrin pour le
    compte rendu et à Sandrine Loulélis pour la photo
     de cette composition réalisée à la MPT
    de St Jean de Moirans le 17 avril 2007

    Matériel et végétaux utilisés :
    3 tiges de gypsophile
    13 roses oranges Wow
    3 tiges de cornus vert (cornouiller)
    3 tiges de fil de fer
    Du floratape vert clair
    1 pince coupante, 1 sécateur , 1 couteau, 1 support plat en verre

    Réalisation :
    •    Florataper les trois tiges de fil de fer , les diviser en quatre parties égales, en faire des cavaliers.
    •    Placer la moitié de la brique de mousse sur le pinolder au milieu du support .
    •    Couper les roses entre 2 et 3 cm. Placer les trois premiers boutons sur une ligne centrale.
    •    Sur une ligne parallèle, à droite,  placer 2 boutons de roses en quinconce par rapport aux premiers.  Faire de même sur le coté gauche de la ligne centrale.
    •    Couper des roses entre 3 et 5 cm, en placer 1 de chaque côté sur les lignes 2 et 3 – Finir la ligne centrale en positionnant une rose à chaque extrémité, légèrement en biais.
    •    Placer un cavalier en partant du bas du bloc de mousse, perpendiculairement à celui-ci, sans le plaquer. Placer le second sur le haut du bloc.
    •    Effeuiller et enlever les épines de chaque tige de roses. Diviser ensuite chaque tige en deux. (coupe en biseau avec le sécateur). Couper les tiges de cornus en 3.
    •    Enfiler les tiges dans les cavaliers, en les plaçant les unes au-dessus des autres,   trois tiges de roses, 1 de cornus, ainsi de suite afin d’atteindre la hauteur du bloc. Plaquer ensuite les cavaliers de maintien.
    •    Répéter la même opération à l’opposé.
    •    Sur les deux autres côtés, placer les tiges en les glissant entre les extrémités des tiges des deux groupes déjà réalisés, en commençant par le bas. Bloquer en suite avec les cavaliers. Placer un troisième cavalier sur toutes les faces, entre les deux premiers.
    •    Recouper un peu les pointes de chaque tige.
    •    Couper des ramifications de gypsophile, former des toupillons, les piquer ensuite sur le dessus, entre les roses, sans dépasser les roses. Former 4 petits bouquets que l’on positionne de chaque côté, à la base de la composition.
    Partager via Gmail

    votre commentaire

  • photonoelle_perrin.png floriscola1.jpg
    Couper 2 tiges de fil de fer en 4 et former des cavaliers. Tiger les bambous en mettant une tige de fil de fer de chaque coté de la prêle.Placer la brique de mousse sur le pinolder au centre du support.

    Remarque : on rigidifie le bambou prêle pour lui donner le mouvement que l'on souhaite et comme on est dans une période où le bambou est dur (pousses de l'année passée), on mettra 2 tiges de fils de fer de chque côté si on veut donner beaucoup de mouvements à nos bambous.
    floriscola2.jpg Faire le tour du support et de la mousse avec du sotiba, que l'on enlevera en arrivant chez soi.
    floriscola3.jpg On rigidifie les bambous prêle en les tigeant.
    floriscola4.jpg floriscola5.jpg Placer de chaque côté de la brique de mousse, les 2 feuilles d’anthurium en  respectant leur mouvement, si la feuille est petite elle sera placée pratiquement sur le rebord du support, et un peu plus en hauteur si la feuille est importante. floriscola6.jpg Prendre le ruban de 30 cm, fixer un cavalier à une extrémité du ruban, le placer sous 1 feuille d’anthurium, lui faire faire le tour du bloc de mousse et bloquer avec un autre cavalier. Sur le ruban de 1m. faire une sorte de boucle dans un bout, mettre un cavalier. Piquer ce ruban vers une feuille d’anthurium, le placer sur le dessus du bloc en lui donnant des mouvements arrondis. Bloquer l’extrémité du ruban avec un autre cavalier.
    floriscola8.jpg floriscola9.jpg Piquer ce ruban vers une feuille d’anthurium, le placer sur le dessus du bloc en lui donnant des mouvements arrondis. Bloquer l’extrémité du ruban avec un autre cavalier.
    floriscola92.jpg floriscola94.jpg floriscola95.jpg Avec les bambous prêles, former 2 masses de 5 bambous. Les planter perpendiculairement aux feuilles d’anthurium,  de chaque côté du bloc de mousse en formant une ligne. Ne pas les planter trop près du bord pour ne pas éclater la mousse.   Sur une tige de fil de fer, réaliser une coupe en biseau, passer cette tige à travers les bambous, de façon à les tenir serrés. Laisser dépasser environ 1 cm de tige et couper. Répéter cette opération sur toute la hauteur.
    floriscola96.jpg floriscola97.jpg floriscola98.jpg floriscola99.jpg Mettre en forme les remparts de bambous, en positionnant une main de chaque côté de la masse, les plier et leur donner la forme que vous souhaitez. Les deux masses peuvent être reliées ensemble par le haut. Vérifier que toutes les tiges soient bien serrées et recouper les fils de fer dépassant.
    floriscolag.jpg floriscolah.jpg floriscolai-1.jpg floriscolaj.jpg Prendre les fleurs de strelitzia, les placer de chaque côté des bambous, 1 grande, 1 moyenne, 1 petite. La plus grande doit dépasser les bambous d’environ 10 à 15 cm. Elles ne doivent pas se toucher.
    Recouper en tronçons les tiges restantes, les mettre sur le dessus du bloc de mousse, une fois à plat, une fois droites. Les tiges droites seront mises à des hauteurs différentes. Vous pouvez bloquer les tiges couchées avec des cavaliers.
    floriscolal.jpg floriscolam.jpg
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Dauphiné Liberé du mardi 27 mars 2007

    Pour celles ou ceux qui n'auraient pas de loupe sous la main ! :

    "Avec les conseils de Didier, l'animateur, les participantes à l'atelier floral ont laissé leur créativité s'exprimer.

    Samedi 24 mars, le foyer rural de Cognin-les-gorges a organisé une animation de création, par le biais d'un atelier d'art floral .
    Le thème décoration de Pâques proposé ce samedi, dans une ambiance parfumée et détendue, a mis en évidence la créativité des participantes.
    Le prochain atelier thématique d'art floral "Découverte des fleurs de l'été" se déroulera le 23 juin sur inscription. Contacter Valérie Simoens du foyer rural au 04 76 38 53 34."

    Partager via Gmail

    votre commentaire